mardi 24 novembre 2020

Un campement sauvage de migrants démantelé? C’est la bonne réponse!

 Je lis aujourd’hui que certains indignés professionnels donnent de la voix au motif que le campement sauvage de migrants qui venait de s’installer place de la république à Paris, a été aussiôt démantelé par la police.

Rappelons d’abord que, place de la République, les migrants n’y sont pas venus tout seuls: ils y ont été conduits par une ou plusieurs associations qui ont également procuré les centaines de tentes bleues érigées comme par magie en l'espace de quelques minutes. Ce sont donc, là encore, des professionnels de l’agitation sociale qui, en parfaite connaissance de cause, ont conduit ces migrants dans un lieu emblématique de la capitale, d’où ils ont pensé qu’il serait plus difficile d’expulser les occupants, du fait de la haute visibilité du lieu.

Ils se sont trompés. Et les forces de l’ordre ont eu raison de faire respecter... l’ordre, tout simplement.

Redisons que la France n’a pas vocation à porter tous les malheurs du monde. Redisons que notre capacité à accueillir des migrants est limitée, et déjà largement excédée. Redisons qu’hélas! les événements qui se sont multipliés en France et ailleurs en Europe au cours des dernières années, nous conduisent en particulier à faire preuve d’une inévitable méfiance vis-à-vis de soi-disant «demandeurs d’asile» qui, d’ici quelques semaines, n’hésiteront pas à remettre en cause (hélas! encore, parfois avec une violence meurtrière) la manière dont nous vivons, nos traditions républicaines ou religieuses, ou la manière dont nous enseignons dans nos établissements publics.

Ces «migrants»-là, dont la République n’a pas besoin, devraient être reconduits d’où ils viennent, certes dans le respect des droits humains, mais avec la constance et la fermeté qui s’imposent. Il est très clair que la France a largement, et depuis longtemps, dépassé la proportion de personnes d’origine étrangère sur son sol acceptable sans mise en péril de nos traditions, de notre mode de vie, de notre identité. Marcher dans les rues de certaines de nos villes, faire ses courses dans certains de nos supermarchés, le démontre amplement.

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